Technique
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ENGIE tient compte de l’humain
Davy a travaillé quelque temps pour ArcelorMittal avant de passer chez ENGIE. Il travaille aujourd’hui en tant que technicien à la centrale de Knippegroen (Gand).
« Si mes collègues et moi-même n’effectuons pas correctement notre travail de maintenance, les machines risquent de tomber en panne et la centrale de s’arrêter. L’impact économique serait considérable. Nous faisons donc vraiment la différence. Je trouve qu’ENGIE est un employeur soucieux de l’humain. Il s’agit d’une entreprise très humaine qui tient compte de ma situation familiale. »
Cela me fait du bien de savoir que j'assure la sécurité de la centrale nucléaire
Evy a découvert le monde des centrales nucléaires il y a une quinzaine d’années à l’occasion d’une mission temporaire en tant que technicienne de laboratoire. Après avoir répondu à une offre pour un poste de superviseuse, elle a entamé une formation d’un an en juin 2021. Elle est désormais « pleinement qualifiée » en tant que superviseuse.
« Les superviseurs sont les yeux et les oreilles d’une centrale nucléaire. Un certain bagage technique est évidemment un plus, mais on apprend énormément au cours de la formation. Ma fonction est une combinaison parfaite de travail autonome et de travail en équipe. Et grâce au système à six équipes, j’arrive à concilier parfaitement mon travail et ma vie de famille. Le package salarial est évidemment très intéressant, mais ce sont avant tout la diversité des tâches, la collégialité et la communication ouverte au sein d’ENGIE qui sont déterminantes pour moi. »
J’aime la liberté dont je bénéficie dans l’organisation de mes tâches
« Lorsque ENGIE a décidé d’organiser un job day à la centrale nucléaire de Doel, je n’ai pas longuement hésité à m’y rendre. Si j’ai beaucoup apprécié l’expérience, les fonctions clairement définies m’ont un peu moins plu », se souvient Roeland. Il y a également rencontré un responsable du département Cogen (cogénération). « Là, c’était fait pour moi ! J’ai postulé et j’ai eu la chance de travailler en tant qu’agent I&C pour le département Cogen dès 2011. En 2018, je suis devenu opérateur de processus. J’assure le suivi opérationnel de plusieurs installations chez de grands clients industriels : organisation des mises à l’arrêt, sécurisation des installations, détection et résolution des pannes… J’apprécie la variété et l’autonomie que m’offre cette fonction ! Il faut être à l’aise sur tous les marchés techniques, et c’est ce qui me plaît. »
J’ai été étonné de toute la mécanique nécessaire pour produire de l’électricité
« J’ai eu de la chance dès ma première candidature », raconte Stephen. « J’ai eu l’occasion de travailler pour ENGIE en tant que technicien dans la zone du port de Gand. Un an plus tard, je me suis retrouvé à la centrale de Knippegroen, qui brûle les gaz de procédé de l’usine d’ArcelorMittal voisine pour produire de l’énergie. Une formation en pompage m’a permis d’acquérir de nombreuses connaissances pratiques en mécanique. Les personnes extérieures seraient surprises de voir le nombre d’applications mécaniques nécessaires à la production d'électricité, qui est largement sous-estimé. J’apprécie également l’alternance entre travail de bureau et travail technique. »